"Hier, en commission mixte paritaire, les sénateurs et les députés des commissions des affaires économiques ont trouvé un accord, à l’unanimité, sur la proposition de loi visant à encadrer l’influence commerciale et à lutter contre les dérives des influenceurs sur les réseaux sociaux.⁠ Les sénateurs et députés ont clarifié les contours d’une activité commerciale encore mal appréhendée par les pouvoirs publics, ont conforté le cadre légal applicable aux acteurs de l’influence commerciale et ont précisé les responsabilités et les obligations qui leur incombent, estimant que cette proposition de loi permettra d’accompagner la professionnalisation du secteur et de sanctionner les acteurs mal intentionnés.⁠ Face à la multiplication des dérives, des arnaques et des escroqueries, les sénateurs ont souhaité légiférer dans le sens d’une plus grande protection et responsabiliser l’ensemble des influenceurs, y compris ceux établis à l’étranger.⁠ Amel Gacquerre, rapporteure pour la commission des affaires économiques, précise que 'le Sénat s’est montré particulièrement ambitieux en matière de protection des internautes, des consommateurs et de la jeunesse. Les interdictions de promotion de l’abstention thérapeutique, des produits de nicotine, d’abonnements à des conseils ou des pronostics sportifs ou encore le renforcement des messages d’information aux consommateurs pour inciter les influenceurs à davantage de sincérité dans leur communication sont des avancées majeures de ce texte'.⁠ Sophie Primas, présidente de la commission des affaires économiques, remarque que 'ce texte est inédit car c’est le premier en Europe à définir juridiquement les activités d’influence commerciale et d’agent d’influenceur. C’est une pierre de plus à l’édification d’une société numérique plus responsable. Au Sénat nous sommes fiers d’être, une nouvelle fois, à l’avant‑garde de la régulation d’une économie numérique qu’il faut promouvoir, accompagner, mais aussi encadrer'.⁠ ⁠ Source : "Proposition de loi visant à encadrer l'influence commerciale et à lutter contre les dérives des influenceurs sur les réseaux sociaux". Sénat, le 1er juin 2023 ⁠ ⁠ ⁠ #dearlobbies #notallhumans

À partager à volonté dans vos stories, et surtout à @christophebechu, ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires. N'hésitez pas également à me laisser un commentaire sous ce post, et à me dire si vous souhaiteriez que je continue à écrire et à partager ce type de fictions, bien qu'assez anxiogènes. Par ailleurs, si vous êtes éditeur et que vous aimez mes écrits, discutons avec plaisir en MP ou via [email protected] #notallhumans

Ode à mes cheveux que je lisse depuis toujours et que je lisse encore (😭). Pourquoi je fais ça moi ? Sinon vous avez vu je sais sourire ! J'ai l'air d'un petit ange. 🤩 PS : J'ai pas retouché la photo car c'est mal de retoucher mais surtout car je sais pas le faire ! PS2 : Ma pref c'est la 3e ! PS3 : C'est mon @morgan_music_and_training qui me rend heureuse

"Non mais tu comprends, il avait bu, le pauvre ne savait plus ce qu'il faisait". "Non mais tu comprends, elle avait bu, elle l'a quand même bien cherché." 🤡

Vous n'imaginez pas le nombre de personnes - y compris des influencers ayant parfois des millions d'abonnés - qui n'osent pas/plus parler de sujets éminemment importants qui mériteraient pourtant amplement d'être adressés, à cause de la pureté militante. Pour savez, ces militants auto-proclamés parfaits et pourtant claqués au sous-sol, les Zorro des réseaux sociaux qui cherchent la moindre incohérence pour épingler et parfois afficher publiquement/harceler. Ces militants auto-proclamés parfaits qui ne le sont pourtant - s'ils le sont officiellement - que dans LEUR domaine - tous en étant loin d'être des exemples sous d'autres coutures. Ces militants qui ne savent pas se remettre en question et continuent à emmerder le monde alors qu'ils constatent très clairement que leurs méthodes ne fonctionnent pas. Ces militants qui font reculer les causes pour lesquelles ils disent se battre, tant ils donnent un aperçu amer, plein de haine et vide de toute tentative de compréhension de l'autre, d'une posture qu'ils disent pourtant vouloir répandre. Quel est véritablement leur but ? Se sentir meilleurs, supérieurs ? Prendre autrui de haut ? Rabaisser ? Décharger des doses de poison émotionnel que leur posture, justement, génère chez eux ? Dans tous les cas, ils ne font que dégoûter et immobiliser le "monde" extérieur, qui préfère ainsi rester tel quel, puisqu'étant bien plus tranquille ainsi. La chasse à l'imperfection plutôt que l'encouragement. La condescendance. L'égoïsme. Le micro plutôt que le macro. La paresse intellectuelle. Ils sont je crois pires que nos ennemis, car faisant des ravages CONSCIENTS dans nos rangs tout en déglinguant les aspirants qu'ils disent pourtant vouloir convaincre. Quand la pureté militante s'ajoute à l'anxiété générée par l'état actuel du monde, alors la défaite, transpirante de découragements multiples, réapparaît comme envisageable dans des cœurs qui n'avaient pourtant besoin que d'ignorer sa possible survenue. Ces personnes pourrissent les luttes. D'où mon questionnement ultime et sérieux : ces personnes sont-elles envoyées par l'ennemi tel des chevaux de Troyes ?

Le saviez-vous ?⁠ ⁠ #notallhumans, comme dirait Robert 👽 ...

😭😭😭

Mon petit Robert 👽 ... ❤️ Plus ça va plus je l'aime celui-là ! #dearlobbies #notallhumans

Le mythe des champions nationaux : - Une poignée de "superprofiteurs" (TotalEnergies, Stellantis, ⁠ LVMH, etc.) concentrent l'essentiel de ces profits.⁠ - Ces bénéfices élevés s'expliquent en partie par une hausse des taux ⁠ de profitabilité, qui alimentent l'inflation.⁠ - Se distinguent dans ce domaine TotalEnergies, qui a distribué ⁠ pas moins de 17 milliards d'euros à ses actionnaires, LVMH avec ⁠ un total de 7,6 milliards, ou encore Engie qui compte redistribuer ⁠ l'équivalent de 16 fois ses profits à ses actionnaires.⁠ - BlackRock a touché 2,8 milliards d'euros de dividendes sur les profits 2022 du CAC40, et Bernard Arnault près de 3 milliards d'euros ⁠ de dividendes de LVMH.⁠ - Les entreprises qui consacrent le plus d'argent aux rachats d'actions⁠ (TotalEnergies, Stellantis, ArcelorMittal) bénéficient dans le même temps de nombreuses aides publiques pour investir dans leur décarbonation.⁠ - Si le CAC40 voit son effectif augmenter au niveau mondial,⁠ en bonne partie du fait de fusions et acquisitions, il continue à effacer des emplois en France – y compris pour des entreprises comme TotalEnergies, Axa ou ArcelorMittal qui rachètent leurs actions à tour de bras.⁠ ⁠ Source : @obs_multinationales @attac_fr⁠ ⚠️ : Les sources utilisées sur ce compte sont disponibles en bio : Actualités > Revue ⁠ #dearlobbies #notallhumans

Paris, le mardi 5 juin 1883 :⁠ ⁠ 19h30. Le sifflet retentit. Les passagers sont installés. Les élégantes se penchent à la fenêtre. L’Orient-Express - un train d'un luxe incroyable - effectue son voyage inaugural à travers l’Europe depuis la Gare de Strasbourg - aujourd'hui Gare de l'Est - en direction de Constantinople - désormais Istanbul - sous le regard de nombreux journalistes dépêchés pour l'occasion.⁠ ⁠ "Voilà un nom qui fait rêver. Qui résonne luxe, volupté et découverte. Voyage vers le lointain, couchers de soleils somptueux, détour par la Corne d’Or et arrivée au son du muezzin. L’Orient-Express. C’est un belge qui a eu l’idée d’un train couchette de luxe. Georges Nagelmackers a découvert cette invention aux états unis ou il séjournait en 1867. Soutenu par le roi des Belges Léopold II, il a l’idée de transposer le concept en Europe et de fonder la compagnie des wagons-lits. Concept ardu puisque les voies de chemins de fer ne sont pas les mêmes selon les pays et que les frontières sont bien plus compliquées à passer que de nos jours. Plusieurs fois au bord de la faillite, sauvé par un anglais, il parvient au terme d’années d’effort à lancer le « train éclair » en 1882 pour rallier Paris à Vienne dans des conditions de confort inédites. Succès immédiat. À tel point qu’il a l’idée d’aller plus loin dans tous les sens du terme et de pousser la ligne d’arrivée à Constantinople. C’est donc le cas en 1883. ⁠ Paris, Strasbourg, Munich, Vienne, Budapest, en Roumanie on descend du train pour franchir le Danube pour arriver en Bulgarie pour prendre un train relais, et au bord de la mer noire un navire de luxe termine le trajet jusqu’à Constantinople. La Liaison ferroviaire totale n’est possible qu’en 1889. A cette date, on peut donc voyager d’une traite depuis Paris jusqu’en Turquie. À l’intérieur, confort et luxe, admirablement dépeints par Agatha Christie qui a embarqué et en a fait le cadre de l’un de ses meilleurs polars."⁠ ⁠ Sources : @retronews_fr @francebleu @gallicabnf⁠ ⁠ Pokes : @sncfconnect @sncfvoyageurs @tgvinoui @ouigo @mon_intercites @railcoop.officiel ⁠

Robert 👽 (@hashtagnotallhumans) accepte - et encourage - évidemment les explications et informations complémentaires éventuelles de la part du festival @welovegreen (que moi j'aime bien car difficile d'être parfaits dans un monde imparfait) et/ou de la @lpo_officiel ! #dearlobbies #notallhumans

"The International Air Transport Association (IATA) announced an expected strengthening of airline industry profitability in an upgrade of its outlook for 2023. Highlights include:⁠ ⁠ - Airline industry net profits are expected to reach $9.8 billion in 2023 (1.2% net profit margin) which is more than double the previous forecast of $4.7 billion (December 2022).⁠ - Airline industry operating profits are expected to reach $22.4 billion in 2023, much improved over the December forecast of a $3.2 billion operating profit. It is also more than double the $10.1 billion operating profit estimated for 2022.⁠ - Some 4.35 billion people are expected to travel in 2023, which is closing in on the 4.54 billion who flew in 2019.⁠ - Cargo volumes are expected to be 57.8 million tonnes, which has slipped below the 61.5 million tonnes carried in 2019 with a sharp slowing of international trade volumes.⁠ - Total revenues are expected to grow 9.7% year over year to $803 billion. This is the first time that industry revenues will top the $800 billion mark since 2019 ($838 billion). Expense growth is expected to be contained to an 8.1% annual increase."⁠ ⁠ ⁠ Source : @iata_official⁠ ⁠ #dearlobbies #notallhumans⁠ ⁠